Code d’éthique

(dernière révision : janvier 2005)

Aucun code d’éthique détaillé ne peut prescrire la conduite qui convient dans toutes les circonstances. Il faut souvent choisir entre deux maux ou plus au lieu de faire un choix entre une mesure qui est manifestement bonne et une autre évidemment mauvaise. Il pourrait arriver, selon certaines situations, qu’un membre ne puisse se conformer à tous les articles du code de conduite simultanément. Le membre devrait donc essayer de satisfaire les objectifs fondamentaux du code autant que possible même s’il enfreint ainsi la lettre des règles.

Par conséquent, le code doit être interprété conformément aux principes directeurs qui suivent :

La règle d’or (« Fais à autrui ce que tu voudrais qu’il te fasse ») servira de critère régissant la conduite.
La loyauté aux idéaux professionnels de base sera essentielle aux manquements au code. Par ailleurs, les mesures qui respectent la lettre de ces articles, mais qui enfreignent les normes généralement acceptées de conduite honorable doivent être considérées comme étant des violations de l’éthique professionnelle.
Moins de poids ne sera accordé au motif d’une mesure qu’à la mesure même. Les contournements artificiels de ces articles sont plus blâmables que les actes manifestes d’omission ou de commission. Par ailleurs, les erreurs honorables de jugement ne sont pas en soi contraires à l’éthique. Donc les résultats de telles erreurs doivent être jugés avec charité, compréhension et justice au lieu de s’appuyer sur l’observation stricte de la parole écrite uniquement.

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